En ville, piétons et cyclistes sont moins exposes aux polluants car il circulent a I’air libre, contrairement aux automobilistes, confines dans un espace clos et qui accumule les particules toxiques. Un article publie en janvier 2017 dans la revue The Lancet Public Health, compilant 39 études sur le sujet, classe les modes de transport en fonction de I’exposition aux polluants (monoxyde de carbone, dioxyde d’azote, suie, particules fines) et la dose inhalée qu’ils imposent. Les conclusions sont sans ambiguité: la voiture présente la nocivité la plus grande, suivie du bus, des scooters et des motos. Quant au métro, il affiche un taux de particules fines supérieur a celui de I’air extérieur. Tous a pied au final!